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Quesque je peux en avoir ras le bol d'être prise pour un chien.
A peine mes deux petites papattes réveillées, a peine après que j'ai descendu les escaliers, a peine après qu'elle ai vu ce putain de post-it, la guerre commence.
Le pire, je n'ai rien mais strictement rien fait, moi. Je n'ai rien demandé.
Je pars vers la cuisine chercher mon p'tit déj' et voilà que je me fais engueulé. Pour lui. Mais putain, arrêtez de tout remettre sur le dos de la première personne qui passe devant vous, parce qu'à force, moi, j'en ai marre, tu sais.
Enfin, je sais, c'est toujours les enfants qui prennent. Preuve à l'appuis.
Être vraiment bien, ca signifie quoi ? Parce que, je pense pas avoir connu ca, le bien-être extrême, en 15 ans de vie.
Des fois, j'me demande à quoi ca sert, et qu'est ce que c'est, une vie ?
Pour moi, c'est une série de malheurs perpétuels, avec quelques bonheurs qui viennent s'intercaller entre deux, tels une paire de crochet dans une jolie phrase écrite à l'encre bleue sur une belle feuille de papier blanche.
Pour moi, c'est rien. Oui oui, rien. Je pourrais très bien me suicider, là, maintenant, tout de suite, ca ne changerais rien grand chose à ma vision de la vie. Parce que de toute façon, un jour ou l'autre, on meurt. J'voudrais pas être immortelle, d'ailleurs. Trop de répétitions, trop de.. De.
Et puis, une vie, c'est justement des répétitions (sans cesse) de gestes, d'attitudes, de moments, et moi, j'trouve que ca lasse, des fois.
Alors, pourquoi pas prendre ses jambes à son cou et sauter d'ici à l'au delà, le temps d'un simple claquement de doigt [ Au lieu d'attendre des années de malheur pour en revenir au même point ] ? Car de toute façon, la vie, ca sert à rien, a part se voir faire et refaire tout le temps la même chose. Point barre.
[ C'est surement pas compréhensi, j'en conscent. Et non, je ne suis pas suicidaire, loin de là. ]
Mt. et sa soeur (Ma.) ainsi que moi-même étions inséprables, comme les doigts de la main, depuis notre plus jeune âge. Mt. nous a quitté trop tôt, m'a quitté trop tôt, 14 ans, c'trop jeune. Ca fera trois ans. Trois ans durant lesquels moi et Ma. ne sommes pas restées très proches. Elle est rentrée en supérieure il y a deux ans, oui deux ans, et depuis cette rentrée, c'est à peine un bonjour/aurevoir au coin de la rue. Vous voilà dans le contexte.
Ce soir même, je vois Ma. sur MSN, avec un pseudo qui sonnait du genre 'Truc et bidule j'vous adore trop, machin chose et bazar et tout aussi !!'. Vu qu'il y a plus de 12 longues années que nous nous connaissons et cotoyons, je me demandait si je faisait partie du 'tout', a la fin (oui, maintenant, je ne suis plus quelqu'un ni quelque chose comme avant, je suis dans un tout). Je vais donc lui faire un petit 'Et moi aussi ?', se rapportant au pseudo hein. Sa réponse ne fut d'une série de point d'interrogation sans signification. Stupide n'est ce pas ?
Je ne comprend pas comment on peut si vite oublier les gens qui ont fait partie intégrale de votre vie pendant toute votre jeune jeunesse. De mon côté, elle a toujours une place primordiale dans mon coeur, enfin, avait. C'est injuste, et qu'est ce qu'on se sent aimé là. Jusqu'à se dire qu'on a des amitiés plus fortes avec des 'amies' connues a la rentrée scolaire, ou encore par le lien d'un PC. Ca nous met mal, je trouve, enfin, ca me met mal à l'aise, hors de moi. Suis-je si petite, si inintéressante pour être oubliée en quatre temps trois mouvements, et pour qu'on vienne me parler une fois toutes les 4 lunes ? J'aime pas penser ca, croyez moi bien, j'aime pas.
Merci Ma. de m'avoir fait voir la vérité en face, au moins (Message qui ne vise pas, vu qu'elle ne connait même oas mon existence sur la toile, ahem.)
Sur ce, je vous abandonne (à votre plus grand bonheur) jusqu'au moins samedi prochain. Départ demain 7h15. Bon amusement, bonne semaine et tout le tralala.
J'ai pleuré énormément ces derniers jours, et des fois, sans raison valable. Tellement que je ne sentais plus les larmes sur mes joues, tellement elles y étaient habituées.
J'ai craqué, ca devait arrivé.
J'veux pas partir, j'veux pas partir, j'veux pas partir >.<.
Des fois ca va, et là, Plouf, ca va pas.
Pas que ca va pas comme ca va pas, mais ca va pas.
Envie de foutre mon poing dans la gueule d'une centaine de personnes, juste parce qu'ils m'ont regardée de travers ou qu'elles m'ont déçues de n'importee quelle façon que ce soit. Non m'sieur, j'suis pas violente moi !
Petit coup de rebellage assistant des fêtes de fin d'années, de retour pour jouer de nouveaux de mauvais tours, comme une certaine année ? Comme l'an passé ?
Héhé, j'me laisserais pas faire. Quitte à garder de l'agressivité (c'qui peut être glop.), j'vais pas déprimer, j'vais pas tomber !
Prend garde peste, tu me menaces, mais je t'aurais.
Ca peut.. Hum non. Ca va paraître bête mais j'ai fait un de ces rêves, vous savez, un rêve qui vous hante toute la journée, puis toute la nuit d'après, et ainsi de suite, un rêve gravé, même si c'est une bétise. Pourquoi n'est-il pas presque réel ?
Juste un atout, il était dedans, mmmhhh.. Admirez-moi ça.
Je sais, je postes pour rien mais, au moins, quand je relirais cette note, je penserais à cette nuit là (*_*) et puis la journée qui a suivis. Eh oui.
Un bruit, frappant, retentissant. J'ai peur, j'ai peur. Il grogne, glisse, une minute trente non-stop. J'ai peur, j'ai peur. Un flash, lumière blanche. Mal aux yeux, j'ai peur. Ca passe a travers tout, maman. J'ai peur >.<
Comme vous l'aurez deviné, j'ai peur de l'orage. Putain.
Et ce foutu voyage dans le Périgord pendant une semaine, au stage préparatoire du Bac option cinéma, quesque je vais foutre là ? J'veux pas. J'VEUX PAS >.<.
Des fois, on voudrait fracturer sa vie en petits papiers froissés, et puis jeter le tout et les laisser s'envoler. Ce serait bien de laisser partir notre mal d'un coup de vent. Hop !
Des douleurs à se tordre en deux pendant des heures entières, ne plus savoir bouger aucun membre de son corps, des vertiges, des nausées, tout ca pour un "phénomène" naturel. Hum.
Puis, pas que mal dans mon corps, mal dans ma tête. Fouillis de pensées vivantes ou inertes, souvenirs et bon moments, mélange hétérogène. Plus de mal que de bien. Tenter d'imaginer le futur, un futur proche ou lointain, se basant sur notre vie actuelle, des maux, des mals, des souffrances. Je me vois un avenir noir, pour l'instant. Et j'avouerais que j'ai de plus en plus peur de souffrir, j'ai trop souffert déjà, peut-être que cette carapace forgée m'en préserverait, un peu, beaucoup ? Mais pas totalement. Et j'ai peur d'avoir mal, je ne supporte plus la souffrance, je ne pourrais pas revivre tant de moments douloureux sans mourir. Mourir avec un R parce qu'on ne meurt qu'une seule et unique fois.
Peut-être que ca serait la solution, non ?
Heureusement que je sais qu' il est là, tout comme je sais que je peut compter sur elle, ma grande soeur de coeur, toujours là pour moi. Mais elle aussi, a envie de mourir avec un R. Malheureusement, personne pour nous comprendre toutes les deux, on se ressemble tellement malgré son année de vieillesse en plus, les ennuis sont tellement semblables, et pourquoi on a droit à personne, nous ?
« Cher journal...
Je suis sur un lit d'hopital, le docteur dit que c'est une opération très difficile et je ne pourrai peut-être pas la faire. Il me faut un nouveau coeur...j'ai besoin de soutien mais mon copain n'est toujours pas arrivé.
Cher journal...
L'opération est finie, les docteurs disent que tout s'est bien passé...J’ai mon nouveau cœur mais j'ai besoin de soutien et il n'est toujours pas arrivé.
Cher journal...
Une semaine est passée, je suis sortie de l'hopital, je vais bien mais mon copain n'est toujours pas venu, a présent je vais aller chez lui, ça me préoccupe beaucoup.
Cher journal...
Je suis allée chez lui, j'ai frappé longuement, mais il n'y avait personne. Je suis entrée, la porte était ouverte, et sur la table il y avait un mot qui disait:
"Mon amour, pardonne moi de ne pas t'avoir apporté le soutien dont tu avais besoin, j'ai voulu te faire un cadeau, mon coeur ne bat plus en moi mais je suis heureux de te l'avoir donné à toi, il continue de vivre à travers toi ... Je t'aime... " »
*Je précise, comme vous vous en doutez, que ce superbe texte n'est pas de moi.*